Bon... Si l'infini est le principe fondateur et le principe ultime de notre réalité, "tout" est infini. Le continuum espace-matière-temps, à ses deux extrèmes (infiniment grand et infiniment petit...), le nombre de dimensions (au-delà des 4 accessibles à notre compréhension...), et surtout, si tant est que notre univers n'est qu'une parmi d'autres possibilités d'existence, à notre niveau: le nombre d'univers possibles.
Là ça devient intéressant. Parce que ça voudrait dire que cette possibilité que nous révélons collectivement est en fait... un choix... Notre choix de nous représenter le monde de cette manière-ci.
Et j'en viens donc à la déduction logique que la relativité (absolue?) de toute notre existence lui enlève toute prétention à définir notre essence. En clair, tout ceci n'est rien, ou n'est qu'une partie du tout, et les réponses sont ailleurs.
En quoi est-ce que ceci modifie les quêtes de notre être "actuel", ponctuel? En rien. En ce qui me concerne, les principes de vie énoncés ne changent pas (voir bibles et croyances). Ils sont absolus, parce qu'ils traitent des fondements de notre raison d'exister, "ici".
Pour ce qui est d'après, on verra bien quand on y sera. Mais étant donné que nous n'avons aucune idée de ce que ce sera, autant faire le choix de s'y préparer du mieux que nous le pouvons en nourissant ce qui semble être le lien entre "ici" et après: notre esprit.
Et si jamais quelqu'un entre-aperçoit l'après, qu'il me fasse part de ses visions
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